Aujourd'hui encore, [la ...

Aujourd'hui encore, [la censure] tolère à peine, [dans les théâtres], les signes de croix, alors qu'on ne craint pas d'en tirer des effets comiques dans la très catholiques Espagne;
 Camille Saint-Saëns

Citations liés

La bouche qui encense est souvent celle censure; la main qui caresse est souvent la main qui tue.
 Proverbes
Car ainsi s'exerce dorénavant la nouvelle censure. Elle opère non par l'occultation, mais par l'excès. Les livres dérangeants sont étouffés sous la masse des livres insipides.
 Bernard Werber
La censure pardonne aux corbeaux et poursuit les colombes.
 Juvénal
Le droit de se tromper, d'être stupide ou fou, devrait être sacré. Ce qui manque le plus à notre époque, c'est un Voltaire fulminant contre toutes les espèces de censures et de persécutions idéologiques.
 Louis Pauwels
La censure qui se drape dans le principe de précaution !
 Blandine Le Callet

Citations du même auteur

La musique de Mozart est si intéressante par elle-même, qu'on s'était habitué à l'admirer pour sa forme et pour son charme, sans penser à autre chose; Gounod sut y voir l'union intime du mot et de la note, la concordance absolue des moindres détails du style avec les nuances les plus délicates du sentiment.
 Camille Saint-Saëns
Commencé à quatre heures, le Crépuscule des Dieux ne se termine qu'à dix heures et tient l'attention du spectateur en éveil jusqu'à la dernière minute. Il est impossible de donner la moindre idée d'une musique pareille : elle ne ressemble à aucune autre. [...] La musique triple l'intensité des sentiments dont les personnages sont animés, c'est tout ce que l'on peut dire à ceux qui ne l'ont pas entendue.
 Camille Saint-Saëns
La musique de Mozart est si intéressante par elle-même, qu'on s'était habitué à l'admirer pour sa forme et pour son charme, sans penser à autre chose; Gounod sut y voir l'union intime du mot et de la note, la concordance absolue des moindres détails du style avec les nuances les plus délicates du sentiment.
 Camille Saint-Saëns
La tentation, pour moi, était irrésistible ; je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j'arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
 Camille Saint-Saëns
La tentation, pour moi, était irrésistible ; je me faufilais dans les couloirs, je me blottissais dans les loges, j'arrivais toujours à attraper quelques bribes de musique, et je rapportais dans les classes une odeur de Beethoven et de Mozart qui sentait fortement le fagot.
 Camille Saint-Saëns